Est-on prisonnier de l'image que l'on se crée sur les réseaux sociaux ?
de Gurvan Kristanadjaja, Vincent Bergier In TOPO, 06 (07/2017), p.34-45 Réflexion sur l'impact des réseaux sociaux sur la vie quotidienne : recherche permanente de popularité (like sur Facebook, followers sur Twitter, Snapchat ou Instagram, abonnés sur YouTube), au risque de perdre son identité, d'idéaliser sa vie, de se mentir ou de se mettre en danger psychologique (addiction, recherche excessive d'approbation ou de partage, besoin d'appartenance à une ou des communautés virtuelles). Evocation d'Essena O'Neill prônant la désintoxication, après avoir vécu par et pour les réseaux sociaux, au point d'en faire un business. Processus neuro-cérébraux et affectifs engagés, particulièrement sensibles à l'adolescence (risques de "burn-out" ou d'épuisement). Avantages possibles néanmoins de ces moyens de communication modernes sur le plan narcissique, ou comme catalyseur de rencontres réelles. |
Kristanadjaja Gurvan, Bergier Vincent.
« Est-on prisonnier de l'image que l'on se crée sur les réseaux sociaux ? »
in TOPO, 06 (07/2017), p.34-45.
Titre : | Est-on prisonnier de l'image que l'on se crée sur les réseaux sociaux ? (2017) |
Auteurs : | Gurvan Kristanadjaja, Auteur ; Vincent Bergier, Illustrateur |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | TOPO (06, 07/2017) |
Article : | p.34-45 |
Langues: | Français |
Descripteurs : | maladie à caractère social / personnalité / psychisme |
Mots-clés: | réseaux sociaux (internet) / identité numérique |
Résumé : | Réflexion sur l'impact des réseaux sociaux sur la vie quotidienne : recherche permanente de popularité (like sur Facebook, followers sur Twitter, Snapchat ou Instagram, abonnés sur YouTube), au risque de perdre son identité, d'idéaliser sa vie, de se mentir ou de se mettre en danger psychologique (addiction, recherche excessive d'approbation ou de partage, besoin d'appartenance à une ou des communautés virtuelles). Evocation d'Essena O'Neill prônant la désintoxication, après avoir vécu par et pour les réseaux sociaux, au point d'en faire un business. Processus neuro-cérébraux et affectifs engagés, particulièrement sensibles à l'adolescence (risques de "burn-out" ou d'épuisement). Avantages possibles néanmoins de ces moyens de communication modernes sur le plan narcissique, ou comme catalyseur de rencontres réelles. |
Nature du document : | documentaire |
Genre : | Bande dessinée |
Exemplaires (1)
Cote | Section | Localisation | Code-barres | Disponibilité |
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Archives | Archives des périodiques | Documentaires | 046088 | Disponible |