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Côté pile
de Mathilde Weill In l'architecture d'aujourd'hui, 421 (octobre 2017), p. 116-121 Photographe d'architecture depuis plus de vingt ans, l'autrichienne Gisela Erlacher aime repérer ce qui, dans nos métropoles, échappe à la planification urbaine. Parmi ces "accidents", elle s'est notamment attachée aux sous-faces de ponts vet autres infrastructures routières. De Chongqing à Londres en passant par Vienne et les Pays-Bas, Gisela Erlacher met en lumière les approbations singulières d'espaces a priori hostiles à tout usage. |
Weill Mathilde.
« Côté pile »
in l'architecture d'aujourd'hui, 421 (octobre 2017), p. 116-121.
| Titre : | Côté pile (2017) |
| Auteurs : | Mathilde Weill, Auteur |
| Type de document : | Article : texte imprimé |
| Dans : | l'architecture d'aujourd'hui (421, octobre 2017) |
| Article : | p. 116-121 |
| Descripteurs : | pont / urbanisme |
| Résumé : |
Photographe d'architecture depuis plus de vingt ans, l'autrichienne Gisela Erlacher aime repérer ce qui, dans nos métropoles, échappe à la planification urbaine. Parmi ces "accidents", elle s'est notamment attachée aux sous-faces de ponts vet autres infrastructures routières. De Chongqing à Londres en passant par Vienne et les Pays-Bas, Gisela Erlacher met en lumière les approbations singulières d'espaces a priori hostiles à tout usage.
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| Nature du document : | documentaire |
Exemplaires (1)
| Cote | Section | Localisation | Code-barres | Disponibilité |
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| Archives | Archives des périodiques | Documentaires | 046485 | Disponible |


