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Rome, l'enfer
de Malika Ferdjoukh
Ecole des Loisirs, 1995, 224 p. (Médium)
Malade, Henri ne peut sortir un soir avec ses parents. Il ouvre une porte d'armoire et sa vie bascule. Il trouve dans la poche d'un veston de son père, une photo de femme avec ces mots "Anna qui t'aime". A la poursuite d'Anna, qui l'aimerait peut-être lui, Henri, s'il la trouvait, qui l'aimerait sûrement mieux en tout cas que sa mère aux yeux secs, Henri va se cogner dans un monde dont il ne soupçonne pas la dureté. Sur les marches de l'Opéra Bastille, il rencontre Waldo et Angela, il leur fait confiance, il a tort... La vie n'est pas comme dans les livres où il s'est toujours réfugié.Il court à la catastrophe, le coeur rempli d'espoir et d'amour.
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